évènements & expositions
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Pour son centenaire en 2019, le musée de l’Air et de l’Espace s’associe avec l’Aéro-Club de France pour proposer un meeting aérien exceptionnel à l’occasion du Carrefour de l’Air.
Le Dimanche 29 Septembre, venez découvrir ou redécouvrir une quarantaine d’avions à hélice et à réaction, évoquant ces cent années écoulées. Exposés en statique toute la matinée, vous pourrez, durant l’après-midi, les admirer lors des démonstrations aériennes qui retraceront cette épopée.
Voir l’affiche Site internet Dossier de presse
Exposition Meaning
La Patrouille de France aux États-UnisEn accès libre à découvrir du mardi 17 au dimanche 29 septembre dans le Hall de la Cocarde en partenariat avec l’Ambassade des États-Unis d’Amérique en France et l’Armée de l’air.
Exposition Photographies
Printemps 2017. Deux français traversent les États-Unis par la route pour suivre la Patrouille de France venue remercier le peuple américain pour son engagement dans le premier conflit mondial, en 1917. Sur les traces de cette prestigieuse unité de l’Armée de l’air française, ils traversent 12 villes à la découverte de la réception, par le peuple américain, du message émis par la France.
Le photographe Hervé Saint Hélier révèle toute la sensibilité de cette rencontre entre la Patrouille de France et les Blue Angels (U.S. Navy), les Thunderbirds (U.S. Air Force), et les citoyens américains de différentes ethnies. Yorick de Guichen souligne les valeurs inscrites dans cette odyssée contemporaine. « Un tel voyage est une boucle, infinie. Elle active les liens fraternels qui unissent la France et les États-Unis, les valeurs qui sont les nôtres, les couleurs que nous partageons, au service d’un idéal de paix. Sans mémoire, il n’y a pas de sens, d’où le nom de cette exposition: MEANING ».
Yorick de Guichen dirige MEANING Company, agence spécialisée en Brand Consulting. Il est co-auteur, avec Cédric Tranchon – leader de la Patrouille de France en 2011- du livre Les secrets d’un leader (Robert Laffont).
Hervé Saint Hélier, photographe, a travaillé pour les agences Sygma et Sipa Press. Il a réalisé des séries à bord du Concorde, du porte-avions Charles de Gaulle, du porte-hélicoptères Jeanne d’Arc. Ses photographies sont exposées chez des collectionneurs privés et dans des fondations d’Art Contemporain à travers le monde.
Livre « MEANING, HONORING U.S. ENGAGEMENT IN WWI »
Ce livre est un documentaire photographique qui sert un devoir de mémoire. Écrit comme un carnet de voyage, ce road book dresse le portrait du lien profond qui unit l’Amérique et la France depuis la Première Guerre mondiale et au-delà. 320 pages – 50 euros – FR/ANG.
A l’occasion du centenaire du musée de l’Air et de l’Espace, le 29 septembre, une dédicace du livre MEANING aura lieu vers 16h30 en présence des pilotes de la Patrouille de France dans le Hall de la Cocarde.
Projection d’un court métrage « MEANING »
Auditorium Roland Garros (300 places)
Durée film 15 minutes, suivie d’une conférenceSamedi 28 septembre à 16h00
En présence de Yorick de Guichen, Hervé Saint Hélier et Ryan Bodenheimer U.S. Thunderbirds #2 2017Dimanche 29 septembre à 11h00
Site internet
En présence du Colonel Allen Pepper, Attaché de défense auprès de l’Ambassade des États-Unis en France, d’un ancien pilote Blue Angels (U.S. Navy), de Ryan Bodenheimer U.S. Thunderbirds #2 2017, de Yorick de Guichen et Hervé Saint Hélier. -
La Commission Astronautique de l’Aéro-Club de France et l’Association Grands Projets’21
Organisent le Vendredi 4 octobre 2019 à 19h à l’Aéroclub de France
6 Rue Galilée, 75116 Paris – Métro Boissière, ligne 6
APOLLO : l’histoire, les missions, les héros
Conférence par Olivier de Goursac
Membre de l’AéCF, de la SAF et Charter Member de la Planetary SocietyLa conférence présentée par Olivier de Goursac permettra :
- de revisiter le programme Apollo, son architecture et ses vols spatiaux ;
- d’évoquer les grands moments de cette belle aventure qui fut, non seulement technologique, mais aussi très humaine ;
- d’apporter un éclairage sur les programmes “post-Apollo” qui avaient été imaginés avec les développements de “l’Apollo Application Program” (“AAP”) ;
- de dresser un bilan d’Apollo en vue d’un prochain retour sur la Lune.
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18 octobre 2019 à l’AéCF : « Les effets de l'apesanteur sur le corps humain » par le Dr Franck Lehot
Commission Astronautique de l’Aéro-Club de France, et Association Grands Projets’21 Le vendredi 18 Octobre 2019 à 19h00 à l’Aéro-Club de France, Salon des Membres, 6 rue Galilée, 75116 Paris :
Conférence : Les effets de l’apesanteur sur le corps humain
Dr Frank Lehot : Diplômé de Médecine Aérospatiale et Médecine d’Urgence. Médecin et instructeur à bord de l’Airbus A310 ZeroG de la société Novespace, qui réalise des vols en apesanteur pour la recherche scientifique et le public.
Au cours des voyages spatiaux, de nombreuses modifications atteignent les organismes des astronautes. Elles sont surtout la conséquence de la vie en apesanteur, mais aussi du confinement et des radiations. Les os se décalcifient, les muscles s’atrophient, la vision baisse, le système immunitaire et le système neurologique sont perturbés, le cœur se désadapte de la vie terrestre. Les mesures mises en place pour limiter ces effets négatifs sont elles suffisantes pour envisager que l’homme puisse supporter les voyages lointains dans le cosmos ?
Dans le laboratoire unique qu’est la station spatiale internationale, la vie en apesanteur permet d’observer de manière accélérée les effets du temps sur l’organisme, et de mieux comprendre les mécanismes de certaines maladies terrestres pour contribuer à y apporter des solutions.
« Le vol suborbital touristique. » Editions Vuibert 2010. Coordonnateur. Ouvrage collectif.
« Voler en apesanteur. Un rêve désormais possible. » Editions Vuibert 2012.
« Histoire de la conquête spatiale. » Vuibert DeBoeck 2019. Co-écrit avec l’astronaute Jean-François ClervoyInscription préalable obligatoire via : communication@aeroclub.com, ou auprès de Nathalie Deschamps-Djermoune qui transmettra : nathalie.agp21@orange.fr
Bulletin d’inscription -
Rendez-vous sur la page Commission Patrimoine
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Sur une proposition de Xavier Truchet (Commissions Histoire, Arts et Lettres & Animations)
L’Intervenant de la Soirée : Jean-Louis Bernard, alors ingénieur chez Dassault Aviation, part en Irak de 1984 à 1988 pour y tenir le poste d’assistant technique. Il assiste, dans tous les sens du terme, à la mise en œuvre de ces avions remarquables. Il noue des amitiés, recueille des témoignages, prend des notes, pour finalement nous livrer trente ans plus tard un témoignage exceptionnel sur un épisode complexe du Levant. Un conflit dans lequel, la France en diaphane de sa Géopolitique orientale de l’époque, mettra en vitrine le summum de sa technologie « Aéronautique militaire », le Mirage F1 EQ5 qui représentait alors le mieux de sa génération en matière d’avion de combat.
Avec l’Auteur nous participerons à une rencontre formidable, où récits et images alimenteront le propos pour nous faire vivre une page d’histoire peu banale, sur un fond d’aventure technologique unique…
Conditions pratiques : Rendez-vous à 19h30 Salon des Membres de l’Aéro-Club de France – 6 rue Galilée 75116 Paris – Métro Boissière
Le programme comportera une dédicace du livre « Les héros de Bagdad » par notre aimable conférencier.
Participation : 4€ pour le pot de l’Amitié avec le concours de l’équipe de la Commission des animations
Merci de confirmer votre présence auprès de l’Aéro-Club de France : communication@aeroclub.com Béatrice Bernard Tel. 01.47.23.72.63
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Gustav Weisskopf est un orphelin allemand qui n’a que 13 ans lorsqu’il devient apprenti chez Diesel en 1887. Après un parcours incroyable, il réalise plusieurs machines volantes aux États-Unis où il s’appelle Gustave Whitehead. Très connues, puis oubliées, ses inventions suscitent régulièrement des polémiques.
Coup de tonnerre en 2013 : le rédacteur-en-chef de Jane’s All the world’s aircraft, référence notoire dans l’aviation, laisse clairement penser que Whitehead aurait volé avant les frères Wright. Depuis, d’autres révélations intriguent encore :
https://www.anciens-aerodromes.com/?p=34952
Intervenant :
Toni Giacoia est instructeur en anglais pour pilotes (FCL .055, ATPL.) Instructeur BIA depuis 2008 dans les lycées avec l’armée de l’air, il admire les pionniers de l’aviation depuis toujours. Il a alors écrit un livre, Une autre histoire de l’aviation, démarré en 2013, publié en 2016.
Livre: https://fclanglais.fr/livre/
Blog: http://airforces.fr/category/history/
Contact : fclanglais@gmail.com
Conditions pratiques :
Les conférences ont lieu à 19h30 dans les Salons de l’Aéro-Club de France – 6 rue Galilée 75116 Paris – Métro Boissière
Participation : 4€ pour le pot de l’Amitié
Merci de confirmer votre présence auprès de l’Aéro-Club de France : communication@aeroclub.com
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Fidèle à une tradition remontant à 1925, la Commission Histoire, Arts & Lettres de l’Aéro-Club de France décerne des prix et diplômes aux meilleures œuvres littéraires récentes ayant un rapport culturel avec l’aviation.
Le 13 mai dernier, l’Aéro-Club de France organisait dans ses salons, la remise de ces prix aux lauréats de cette année.Le Grand Prix Littéraire de l’Aéro-Club de France a été décerné à Tiffany Tavernier pour son livre « Roissy », aux éditions Sabine Wespieser
Le Prix de l’Aéro-Club de France a été décerné à Nicolas Mingasson pour son livre « Pilotes de combat », aux éditions les Belles Lettres
Le Prix Charles Dollfus a été décerné à Roger Gaborieau pour son livre « Les ailes tragiques des Schneider » aux éditions Bleu Ciel
Le Prix Alphonse Malfanti a été décerné à Julien Scavini pour son livre « Aéroport Charles de Gaulle », aux éditions E.T.A.I.
Les Diplômes de l’Aéro-Club de France ont été décernés à Damien Accoulon pour son livre « René Fonck » aux éditions Privat, à François Suchel pour son livre « Le serment de Piana », aux éditions Paulsen, et Stéphane Dugast pour son livre « Les Ailes de l’Humanitaire » aux éditions de La Martinière
Commission Histoire, Arts et Lettres -
Pour sa traditionnelle soirée annuelle, l’AéCF fêtait le 6 février dernier les 50 ans du premier pas sur la Lune et du premier vol d’essai du Concorde en remettant sa Grande Médaille à deux grands acteurs de l’histoire aérospatiale, Buzz Aldrin, membre de l’expédition lunaire Apollo XI et Jean Pinet, pilote d’essais du Concorde.
Buzz Aldrin retenu aux Etats-Unis par le Discours de l’état de l’Union, la Grande Médaille honorant l’équipage d’Apollo XI a été remise à Timothy Tawney, représentant de la NASA en Europe, par Jean-Loup Chrétien, premier astronaute français dans l’espace.
Patrick Gandil, Directeur Général de la DGAC a ensuite remis la Grande Médaille à Jean Pinet, ingénieur et pilote d’essais aux commandes du Concorde lorsque que ce dernier passe pour la première fois le mur du son, le 1er octobre 1969.
Une très belle soirée au cours de laquelle la présidente, les membres du conseil d’administration, anciens et nouveaux membres et personnalités présentes ont pu se retrouver ou faire connaissance dans une ambiance conviviale.
Discours de Monsieur Jean Pinet, le 6 février 2019 à l’Aéro-Club de France
Madame la Présidente, Mr le Directeur général, Mesdames, Messieurs,
Je suis fier de cette distinction que m’accorde la plus ancienne des associations mondiales d’aviateurs. Avec la progression rapide de l’aviation, le métier de pilote a la fâcheuse tendance à s’éloigner de la condition d’aviateur, essentielle pour pleinement apprécier la troisième dimension désormais sans limite. Heureusement l’Aéro-Club privilégie les activités où existe encore une certaine liberté d’évolution, ou plutôt où existe encore la possibilité d’en tirer des satisfactions humaines, plutôt que purement techniques, voire strictement professionnelles.
Nous sommes quelques-uns à nous inquiéter de l’évolution du métier de pilote de l’aviation de transport. A vrai dire je crains d’en porter une part de responsabilité car j’ai été l’un des tout premiers ingénieurs de formation de base à devenir pilote d’essais, en 1958. Aujourd’hui le parcours est classique, mes jeunes camarades sont de hauts techniciens-aviateurs, motivés, car les essais en vol offrent toujours des situations où l’on a besoin d’habiletés physiques et mentales, où l’on reste aviateur. Mais qu’en sera-t-il pour la toujours croissante population de pilotes de l’aviation de transport ?
Il y a 40 ans nous avons fait l’erreur de penser que les automatismes et les procédures allaient résoudre tous les problèmes. Cette idée fut confortée par l’important abaissement du taux d’accidents. Cependant, malgré la persistance de sa faible valeur, les analyses d’incidents et d’accidents nous laissent atterrés devant leurs causes statistiquement improbables. En conséquence on assiste à un retour lent et incertain vers des valeurs négligées, comme le pilotage manuel.
En revanche une très forte tendance contraire, basée sur des motivations essentiellement économiques, milite vers l’idée de supprimer progressivement les pilotes du cockpit. L’idée est reprise par des techniciens, des ingénieurs pour qui l’intelligence artificielle semble être la solution à tout problème humain.
Le réveil vers l’humain du technicien que je suis, est survenu à la suite de deux incidents majeurs sur le Concorde prototype 001. Le premier avec la perte de rampes d’entrée d’air à Mach 2, le deuxième dans une dangereuse divergence de vent à l’atterrissage, au cours d’une mission avec le Président de la République, incidents auxquels nous, pilotes d’essais confirmés, n’avions rien compris. D’où mon orientation de carrière vers la formation, qui m’a permis d’introduire l’humain dans un secteur hyper-technique.
N’ayant pas eu le privilège de marcher sur la Lune, sans conteste le sommet de ma carrière se trouve dans mes 16 années d’essais en vol de Concorde, que j’ai adoré. Ce fut l’avion le plus précis et le plus agréable de tous ceux que j’ai pu piloter. J’ai eu la satisfaction de lui faire passer le mur du son le 1er octobre 1969. Mais en réalité ce fut un vol sans histoire, presque frustrant dans son identité avec les essais préalables sur simulateur. La surprise vint à l’arrivée, au parc, avec les journalistes auxquels je ne m’attendais pas.
A l’époque de la règle à calcul et des gros calculateurs analogiques, tout ce qui concernait l’avion était un défi. Son objectif en premier lieu : transporter 100 passagers se déplaçant à la vitesse d’un obus anti-char au-dessus de l’Atlantique. J’ai participé avec enthousiasme à l’aventure, totalement pris par ma tâche, et sans réaliser qu’un jour ce magnifique avion pouvait devenir légendaire. A l’analyse objective des actuels projets supersoniques médiatisés, le défi ne sera pas relevé avant longtemps malgré le numérique et l’intelligence artificielle. A moins bien sûr de faire sauter les limites règlementaires.
Ancien président de l’Académie de l’air et de l’espace il me serait difficile de ne pas évoquer ses relations avec l’Aéro-Club de France. Nous sommes quelques-uns à avoir essayé d’orienter l’Académie vers l’aviation générale et nous avons échoué. En fait d’autres s’en occupaient plus efficacement que nous, dont l’Aéro-Club. Je pense que nous aurions intérêt à cultiver notre complémentarité. L’orientation de l’Académie vers l’Europe rend peut-être moins aisées nos relations, cependant les deux associations ont des membres communs. Et nous devons nous rappeler le rôle essentiel qu’a joué l’Aéro-Club dans l’essor mondial de l’aéronautique, et celui qu’il poursuit en maintenant un humanisme dans la condition d’aviateur et de spationaute. Ainsi que dans la préservation du patrimoine aérospatial, humain et matériel.
Si par extraordinaire je l’oubliais cette médaille me le rappellerait.
Merci pour son attribution.
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Retrouvez les œuvres originales créées pour les 120 ans de l’AéCF sur le site de la Galerie Octopus.
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En avant-première pour l’AéCF, les calendriers France et International des meetings aériens 2018 par Philippe Chetail Commission Meeting et journaliste à Aérobuzz.
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Edition 2018 :
Chaque dossier devra retracer la vie de l’objet patrimonial, aéronef, bâtiment, objet d’art … et comporter :
Une description précise de l’objet avec au minimum un plan trois vues, complété par des photos correspondantes. La fourniture d’une vidéo sera considérée comme un élément bonifiant pour le dossier de candidature.
Un historique complet, année de fabrication, numéro de série, immatriculation d’origine, modifications apportées, décorations successives…
L’inventaire des travaux effectués : les phases de restauration ou de reconstruction doivent être détaillées au maximum grâce à des photographies prises avant, pendant et après les travaux (structure, revêtement, moteur, planche de bord ou autres selon les cas).
La restauration doit être fidèle à l’état initial. L’exactitude de la restauration devant être confirmée par des documents d’origine ou des témoignages circonstanciés.
Il sera précisé les principales différences avec le modèle d’origine et expliqué les raisons de celles-ci : pièces introuvables, réglementations actuelles, sécurité…
Enfin pour être complet, chaque dossier doit comporter une fiche présentant précisément la personnalité et les motivations des candidats ainsi que l a Raison sociale ou identité précise du candidat qui recevra le prix en cas de couronnement.
La restauration ou l’opération de préservation patrimonial concourant devra être terminée au 10 avril 2018.La limite des dépôts des candidatures est fixée au 10 avril 2018.
Les éléments sont à envoyer à :
Aéro-Club de France
Grand Prix du Patrimoine
6 rue Galilée 75016 Paris
01.47.23.72.72 aeroclub@aeroclub.com -
Une conférence de Damien Accoulon présentée par Jean-François Feuillette, Commission Histoire, Arts et Lettres
L’oubli injuste du pilote a souvent été avancé par ses biographes, mais n’était-ce pas un oubli normal de la nation pour un héros finalement peu représentatif de son époque ? Pour le déterminer, le conférencier reviendra sur le parcours du pilote, les moments marquant de sa vie et de sa postérité, à l’appui de documents restés jusqu’à présent inédits.
Damien Accoulon est Agrégé d’histoire, doctorant Université Paris Nanterre et Technische Universität Braunschweig (Allemagne)
Conditions pratiques :
Les conférences ont lieu à 19h30 dans les Salons de l’Aéro-Club de France – 6 rue Galilée 75116 Paris – Métro Boissière
Participation : 4€
Merci de confirmer votre présence auprès de l’Aéro-Club de France : communication@aeroclub.com -
Un grand merci aux donateurs et mécènes pour leur soutien à la réalisation du Meeting anniversaire des 120 ans de notre institution.
Grâce à vous, nous avons pu offrir un plateau exceptionnel de 40 avions mythiques aux 10 000 fans d’aviation venus admirer les démonstrations en vol, des appareils historiques aux champions et championnes de voltige et bien sûr, de la très attendue Patrouille de France !
Tout cela n’aurait pu être possible sans votre aide et nous vous remercions pour avoir partagé cette belle réussite avec nous.
Nous tenons à remercier également le Musée de l’Air et de l’Espace pour une parfaite collaboration ainsi que l’AAMA pour son aide tant humaine que financière.
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Fidèle à une tradition remontant à 1925, la Commission Histoire, Arts & Lettres de l’Aéro-Club de France décerne des prix et diplômes aux meilleures œuvres littéraires récentes ayant un rapport culturel avec l’aviation.
Le 14 mai dernier, l’Aéro-Club de France organisait dans ses salons, la remise de ces prix aux lauréats de cette année.Le palmarès 2018 a distingué les ouvrages suivants :
Grand Prix littéraire de l’Aéro-Club de France
Georges Guynemer, Jean-Marc Binot, Editions Fayard
Prix de l’Aéro-Club de France
La pointe du diamant, Yannick Piart, Editions Nimrod
Prix Charles Dollfus
Correspondance et journal de campagne 1914-1917, Lieutenant Nissim de Camondo, Editions Les Arts Décoratifs
Prix Alphonse Malfanti
Cockpits, Jean-Luc Beghin, Editions Paquet
Diplôme de l’Aéro-Club de France
Paris à la conquête du ciel, Frédéric Borel, Editions Parigramme
Diplôme de l’Aéro-Club de France
Piloter à l’ancienne, Fabrice Dubost, Editions Cépaduès
Diplôme de l’Aéro-Club de France
Aircraft, Le Corbusier, Editions Parenthèses -
Dans le cadre de la Journée Internationale de la Femme, l’Aéro-Club de France et l’Association Française des Femmes Pilotes vous invitent le vendredi 9 mars 2018 à 19 heures dans les Salons de l’Aéro-Club de France à la conférence :
Les « Sorcières de la nuit » (Unité combattante de la Grande Guerre Patriotique)
par Martine Gay – Pilote membre de l’AFFPSuivie de la signature de son ouvrage :
« FEMMES DANS UN CIEL DE GUERRE
Sorcières la nuit … Furies le jour
Aviatrices russes 1941-1945 »En présence d’autres auteurs.
Réponse souhaitée avant le 19/02/2018 à : communication@aeroclub.com en indiquant noms et nombre de personnes présentes
Participation 5€ pour le pot de l’amitié. -
Tournée américaine de la Patrouille de France
PAF US Tour 2017 CARNET DE VOYAGE
EXPOSITION PHOTOGRAPHIESHervé Saint Hélier
Yorick de GuichenA partir du 27 Février 2018 au Restaurant de l’Aero Club de France
6 rue Galilée, 75116 ParisRestaurant ouvert au public de 11h45 à 15h00
Deux Français traversent les États-Unis par la route, pour suivre la Patrouille de France venue remercier le peuple américain pour son engagement dans le premier conflit mondial, en 1917. Sur les traces de cette prestigieuse unité de l’armée de l’Air française, ils traversent 12 villes, de New York à San Francisco, à la découverte de la réception par le peuple américain du message émis par la France.
Yorick de Guichen et le photographe Hervé Saint Hélier recueillent des lumières, des atmosphères, des images qui reflètent la résonance, l’émotion, et la connexion profonde que cet événement entretient avec l’âme de l’Amérique. Hervé Saint Hélier révèle toute la sensibilité de cette rencontre entre la Patrouille de France et les Thunderbirds (US Air Force), les Blue Angels (US Navy) et les citoyens américains de différentes ethnies.
“Through the Eyes of Americans”, leur documentaire photographique, sert un devoir de mémoire et dresse le portrait du lien profond entre la France et l’Amérique.
Hervé Saint-Hélier débute sa carrière comme photographe de presse diffusé par les agences SYGMA et SIPA. Au travers de multiples voyages, sa pratique de la photographie argentique s’étoffe. Ses séries à bord du Concorde, du porte-avions Charles de Gaulle, du porte-hélicoptères Jeanne d’Arc, ainsi que ses « Voyages Urbains », comptent parmi les thèmes les plus emblématiques de son travail. Ses photographies ont rejoint de nombreuses collections privées telles que la Société Générale ou la Fondation Carmignac, et sont couramment exposées en Europe, en Asie, ainsi qu’aux États-Unis par la Marlborough Graphics Gallery.
Yorick de Guichen est le co-auteur, avec Cédric Tranchon – leader de la Patrouille de France en 2011 – du livre Les Secrets d’un leader(Robert Laffont). Descendant de l’Amiral Luc Urbain de Guichen qui a combattu pour la guerre d’Indépendance des États-Unis, Yorick est membre de la Société des Cincinnati fondée en 1783 par George Washington.
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Le lundi 29 janvier au soir s’est tenue la soirée annuelle des membres de l’Aéro-Club de France dans ses salons parisiens. Près de 300 personnes du monde de l’aviation et de l’espace étaient présentes, conviées par Catherine Maunoury, présidente de l’Aéro-Club de France.
À cette occasion, en ouverture de soirée, deux diplômes Paul Tissandier de la Fédération Aéronautique Internationale ont été officiellement remis par Michel Polacco à Philippe Chetail et Hugues Duval en reconnaissance de leur engagement.
Cette soirée de l’Aéro-Club de France fut surtout l’occasion de rendre hommage à Thomas Pesquet, pilote et astronaute français de l’Agence spatiale européenne (ESA), membre de la mission Promixa en 2017. Devant un public conquis par celui qui est aujourd’hui le 10e Français engagé dans une mission spatiale et en présence de nombreuses personnalités, Catherine Maunoury a solennellement remis à Thomas Pesquet la Grande Médaille de l’Aéro-Club de France, distinction récompensant depuis plus d’un siècle les personnalités ayant contribué de façon exceptionnelle aux progrès de l’aérostation, de l’aviation et du spatial. Honoré de la distinction, Thomas Pesquet a tenu à rappeler son attachement au monde de l’aviation, ses liens forts avec l’espace et sa volonté à poursuivre non seulement ses missions scientifiques, mais aussi son engagement dans les valeurs portées par l’Aéro-Club de France.